mardi 1 mars 2016

Faut-il prévoir des peines alternatives pour éviter la saturation des prisons?

Aujourd'hui, les prisons sont toujours surpeuplées malgré les douze prisons qui ont été construites récemment. C'est un nouveau record.
Malgré cette hausse, les prisons construites ne suffisent pas à combler le manque. Le gouvernement veut en construire d'avantage mais le manque de place et de moyen les en empêche.

Cette surpopulation dans les prisons est due à une hausse de la délinquance mineure de 8,7 %.


Les causes de la surpopulation :

-  A cause de cette surpopulation, aujourd’hui on se doit de trouver des solutions alternatives à la prison. Par exemple, environ 10 698 personnes sont en semi-liberté avec un bracelet électronique. Cette pratique d'alternative à la prison carcérale est en hausse.

-  Cette surpopulation mène une vie difficile aux prisonniers. Effectivement, les conditions de vie dans les prisons sont, dans la plupart des cas, médiocres. (= prisons insalubres, insécurité…) Cela nui fortement au moral des prisonniers et à celle du personnel.
A cause de ces conditions de vie devenues impossibles, le taux des suicides dans les prisons à fortement augmenté.

-  Plusieurs articles parlent de sous-effectif au niveau des gardes car il y a un manque important de gardiens. Ce sous-effectif est dû au faite que de moins en moins de personnes veulent travailler dans les prisons car ceci contient un risque d’être agresser et que le salaire est peu satisfaisant, et de plus c’est du à cause de cette surpopulation.
Cela mène à l’insécurité du personnel et celle des autres prisonniers. Cette insécurité est dû aux bagarres a causes des règlements de compte entres prisonniers. Lors de ces bagarres, les gardes ne peuvent pas les régler sans violence.


Avec la crise économique actuelle il est difficile de trouver des solutions à la surpopulation carcérale.



Les tentatives pour résoudre le problème de la surpopulation :


Nous allons vous parler de mesure faite par le gouvernement pour certains prisonniers.

Ce sont de la famille ou des amis de personnes impliqués, où de personnes elles même impliquée dans des attentats.
Après de longues années d'emprisonnement, et suite à la saturation des prisons, ils sont relâchés mais sous certaines conditions :

-  Ils sont placés dans une ville et ne peuvent pas en sortir, sous peine de retourner en prison.

-  Ils possèdent un bracelet électronique.

-  Ils sont sous étroites surveillances par le commissariat de la ville et par la gendarmerie.

- Si ils commettent un délit majeur, ils risquent fortement la prison à perpétuité.


Certains ont trouvé un travail et ont fondé une famille.
D'autres trouvent que ce système revient à faire la même chose que dans une prison car ils n’ont pas de liberté

Nous allons étudier deux témoignages :

-  L’un est prisonnier en semi-liberté que depuis quelques mois. Il trouve que les moyens sont abusés. La gendarmerie observe ses moindres faits et gestes, alors que celui-ci voudrait avoir un minimum d’intimité. Il voudrait simplement visiter d’autres villes mais malheureusement il ne peut pas.

-  L’autre cela fais une dizaine d’année qu’il est en semi-liberté. Il a une femme et des enfants. Sa fille et son fils font du sport. Mais lorsque l’un des enfants a une compétition en dehors de la ville, leur père ne peut pas y assister à cause de sa semi-liberté.


Ces alternatives à la prison peuvent convenir à certain prisonniers. Cela peu leurs permettre de retrouver une vie sociale. D’autres trouvent qu’il y a trop peu de liberté. Mais chaque individu ayant eu cette alternative à la prison carcérale rêve toujours de plus de liberté.




Yolaine Bezy et Elina Cunin 2nd6

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