vendredi 27 novembre 2015

Novembre 2015



Faut-il prévoir des peines alternatives pour éviter la saturation des prisons ?


Les prisons étant surchargées -249 298 personnes dans les prisons en France- il faut trouver des solutions pour éviter la saturation des prisons.





1) il existe plusieurs peines alternatives comme :

 → Travaux d’Intérêt Général (TIG) :
  Il consiste pour le condamné à accomplir pendant une durée comprise entre 40     et 140 heures, un travail non rémunéré au profit d'une personne de droit public     ou d'une association habilitée.






 → Le bracelet magnétique :
  C'est une méthode expérimental depuis septembre 2000. Il place le condamné       sous surveillance électronique grâce à un bracelet émetteur signalant au service   chargé de la surveillance tout dépassement d'un rayon d'action fixé par le JAP.   (= Juge de l'Application des Peines) Les autorités espèrent ainsi réduire le           nombre de détenu tout en garantissant à la population un contrôle total sur les   déplacements agissements du condamné.






 → Un suivit socio-judiciaire :
  C 'est une peine destinée aux personnes condamnées pour une infraction               sexuelle. Le but est de prévenir la récidive des délinquants sexuels, notamment     en les « incitant » fortement à suivre un traitement. La durée du suivi socio-         judiciaire ne peut pas dépasser 10 ans en cas de délit et 20 ans en cas de crime.     S'il ne se conforme pas à ses obligations, le condamné devra exécuter une peine   de prison supplémentaire.




 → Une réduction de peine :
  La réduction de peine est une mesure prise par le Juge de l'Application des   Peines (JAP). Il permet de réduire la durée de la peine de prison. Elle ne peut       être accordée qu'aux personnes condamnées à vie. Il existe deux catégories           réduction de peine :

   - la réduction de peine ordinaire, accordée aux détenus faisant preuve d'une          « bonne conduite » c'est à dire aucun délit commis en prison par exemple.

   - la réduction de peine supplémentaire, accordée aux détenus qui fournissent        des « efforts sérieux de réadaptation sociale ». Le détenu veut fournir des              efforts pour rentrer dans la vie active et pour une réinsertion social.




                                                      Yolaine BEZY et Elina CUNIN
                                                                            2nde6
























mardi 24 novembre 2015

Comment régler les inégalités entre les salaires femmes/hommes?

II Comment résoudre ce problème?

En réalité quand on se penche sur le sujet des inégalités salariales entres les hommes et les femmes cela débouche sur plusieurs autres sujets comme celui des violences faites aux femmes.
Plusieurs lois ont été adoptées à ce sujet mais sans jamais être très concrètes et n'étaient donc que rarements respectées.
La première lois qui s'est vraiment fixée sur le sujet des inégalités salariales entre hommes et femmes a été adopté en 2014. Voilà de quoi régler ce problème comme le dit Marisol Touraine ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes:
«Parce que les inégalités que connaissent les femmes sont innombrables, cette première loi-cadre pour les droits des femmes était indispensable. Ses mesures constituent un levier formidable pour améliorer le quotidien des femmes. Mais il ne suffit pas de faire voter des lois. Il faut aussi que chaque citoyenne, chaque citoyen, connaisse ses droits et puisse en bénéficier dans la vie de tous les jours. C’est pourquoi la mise en œuvre concrète de la loi du 4 août 2014 devait être rapide. C’est désormais chose faite»
Marisol Touraine

On peut observer de réels avancées car d'après l'extrait d'article suivant la France est meilleure sur le sujet que le reste de l'Europe :
«Les inégalités salariales reculent plus vite en France que dans le reste de l’Europe
Alors qu’entre 2008 et 2013, l’écart de rémunération horaire brute moyenne des salariés de l’Union européenne a diminué de 0,9 point dans toute l’Europe (de 17,3% à 16,4%), la France a connu une diminution de 1,7 point, passant de 16,9% à 15,2%.»


sources:social-santé.gouv

La justice est-elle la même pour tous le monde ?

La justice est-elle la même pour tous le monde ?

Introduction :

     Le principe d'égalité des citoyens devant la loi figure à l'article 6 de la Déclaration de Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789. Il implique l'égalité des citoyens devant l’application qui est faite de la loi par l'institution judiciaire.
     - Le conseil constitutionnel a consacré en 1975 cette équivalence, affirmant que le principe d'égalité de tous les individus devant la justice ne possède pas de valeur constitutionnelle. Cela signifie que tous les justiciables, quelle que soit notamment leur nationalité, doivent être traités de manière identique par les juridictions françaises.
     - Concrètement, l'égalité devant la justice se traduit par la consécration d'un droit au juge naturel : les justiciables se trouvant dans une situation identique doivent être jugés par un même tribunal, selon les mêmes règles de procédure et de fond. En conséquence, les privilèges de juridiction, qui permettaient à certains individus d’être jugés dans des conditions plus favorables, ont été définitivement supprimés en 1993. En outre, le mécanisme de la cassation garantit aux justiciables une interprétation identique de la loi sur l’ensemble du territoire.
     - Le principe d’égalité devant la justice s'offre cependant quelques aménagements. La multiplication des juridictions d’exception spécialisées favorise indirectement un traitement différencié entre les justiciables. De même, l’existence de deux ordres juridictionnels conduit l’administration à ne pas être traitée comme les autres justiciables : les modalités d’exercice des voies de recours, ou la mise en œuvre à son encontre de l’exécution forcée lui sont par exemple plus favorables qu’aux particuliers.

     L’argent fait polémique dans la procédure de poursuite. En effet, chacun a le droit de se défendre, par le biais d’un avocat. Or les avocats les plus efficaces sont les plus chers et seules les personnes assez aisées ont les moyens de louer leurs services. Selon l’avocat dont ils auront eu la chance ou non de bénéficier, ils ne seront pas jugés de la même façon. On ne peut pas parler d’égalité ni de justice mais d’injustice. C’est là encore l’hypocrisie des pouvoirs publics que de définir un avocat commis d’office, bien souvent un novice, à une personne qui se retrouve handicapée dès le départ car elle se situe dans une classe sociale moins élevée que ce qu’il ne faudrait. La qualité de la défense en est assez largement affaiblie.

     Cependant, lorsque l’on souhaite être juste, il faut évacuer toute sorte de sentiment. Ainsi, la compassion ne doit pas non plus être un critère quant à la décision d’une peine, quelle qu’elle soit. Si c’est le cas, cela ne fait plus partie de la justice même si c’est parfois une décision honnête et intelligente. Ainsi, un automobiliste pris en flagrant délit d’excès de vitesse, qui est en procédure de divorce et qui vient de perdre ses parents doit tout autant, selon la justice, payer une amende pour excès de vitesse. Bien que le cœur indique que cet automobiliste ne devrait pas payer pour sa faute, la justice ordonne que l’amende soit réglée quelle que soit la personne. Il faut juger en faisant abstraction de tout cela. On pourrait tout aussi bien se demander pourquoi on fait une différence entre une personne majeure et une autre mineure. Ils n’ont pas droit à la même justice sous prétexte que dans certains cas l’âge diffère seulement de quelques semaines. La justice est donc fondée sur de grands principes définis et acceptés par tous, tels que ne pas tuer, ne pas violer, prêter assistance à personne en danger… Pour résumer, on peut dire que la justice est le respect d’autrui, quel qu’il soit, de façon égale et totalement impartiale.

     La justice est plus laxiste avec les enfants du fait de leurs jeunes âge, ils auront une peine moins lourde ou ils iront dans une maison de correction mais l'empathie des juges n'est pas la même pour un juge adulte que pour un enfant.

Exemple :
     De même, une fois la détermination de la culpabilité et de la peine prononcée, l’administration de la peine, selon le rang social, n’est jamais la même. Prenons l’exemple de M. Bernard Tapie, ex-ministre, condamné pour abus de biens sociaux et autres. Celui-ci n’a pas eu le même traitement que certaines personnes qui ont pourtant été jugées et condamnées pour des faits similaires. Elles n’ont pas eu droit à une liberté contrôlée et à une cellule de prison qui ressemble plus à une chambre soigneusement décorée qu’à un cachot avec une fenêtre à barreaux et un vulgaire matelas. L’argent tronque la justice, il a été prouvé à de nombreuses reprises que des magistrats se sont faits corrompre, à des fins personnelles. On ne peut pas parler de justice, lorsqu’un riche criminel dispose de plus de « droits » qu’un délinquant sans argent.


Sources :



mardi 10 novembre 2015

Comment régler le problème de la lenteur de la justice en France ?

      Comment régler le problème de la lenteur de la justice en France?



Parmi les exigences des procès protégées par la Convention européenne des droits de l'homme, figure le droit pour tout justiciable à ce que sa cause soit entendu dans un "délai raisonnable". Cela paraît flou, le caractère de la durée de la plupart des procès en France ne laisse aucun doute.

Par exemple :  Un délai moyen pour obtenir une décision de justice est de 12 mois devant un juge administratif, de 7 mois devant le tribunal de grande instance et de 11 mois devant une cour d'appel. Ces délais sont depuis quelque années en voies d'améliorations, mais la France est toujours condamnée pour "non respect un délai raisonnable" par la Cour européenne des droits de l'homme. 

Les causes de la lenteur excessive de la justice son causées par   : accroissement du contentieux ( = conflit entre les deux parties), complexification de la procédure, etc. Certains remèdes peuvent se montrer efficaces à court terme : augmentation des capacités de traitement des procès par le recours au juge unique, généralisation des modes alternatifs de règlements des procès, sanction des parties ne concourant pas à la célérité de la procédure, limitation de la durée des délibérés. 

Cependant, la lenteur de la justice révèle surtout un manque chronique de moyens matériels et humains que ne comblent pas ces quelques remèdes partiels. Cette lenteur est d’autant plus inquiétante qu’elle porte généralement préjudice aux justiciables les plus fragiles, et qu’elle n’est en rien le gage d’une décision de qualité.


La loi française et européenne prévoit bien que l'État ait des comptes à rendre sur la célérité de sa justice. C'est le sens du «délai raisonnable» de jugement, reconnu par le code de l'organisation judiciaire ainsi que par la  Convention européenne des droits de l'homme. En vertu de ces textes, quand les parties concernées estiment que la justice a mis trop de temps à rendre son jugement, elles peuvent attaquer l’état pour faute lourde ou se référer à la Cour européenne des droits de l'homme. La France y est, derrière l'Italie, le deuxième pays le plus condamné pour ce motif. La «raisonnabilité» du délai est alors évaluée au cas par cas, selon la complexité de l'affaire en question et la responsabilité des différentes parties dans la durée de la procédure. Le cas échéant, les victimes reçoivent une indemnisation.

faut-il rétablir les frontière en Europe ?

                                      faut-il rétablir les frontière en Europe ?

Nous avons un avis partagé sur cette question , donc nous allons vous donner nos avis en fonction de chaque possibilités.


Nous raisons pour un avis négatif:

Nous ne pensons pas qu'il faudrait  fermer les frontières dans l'Europe car cela soit abaisserais

 l'économie des pays qui exportent leurs produits dans d’autres pays Européens ou sinon les pays qui

 exportent les produits devront augmenter le prix de ceux-ci  cause des taxes de douanes

Nos raisons pour l'avis positif:

Car grâce aux frontières fermées il y aurait de nouveaux  douaniers (+ d'emplois) et cela ralentirait et

même pourrais stopper la totalités des trafics de drogue routiers et cela ralentirait la progression des

émigrés des pays de l'Est vers l'Ouest comme sa s'ils franchissent une frontière sans autorisation ils

ne serons  pas ''libres'' dans l'Europe ils auraient d'autres frontières a franchir pour aller dans les pays

qu'ils veulent aller dans un autre pays.


Comme le stipulent les accords de Schengen, les 26 Etats membres de l'espace de libre circulation européen ont la possibilité de rétablir temporairement des contrôles à leurs frontières nationales en cas de menaces pour l'ordre public ou la sécurité. La durée de ces contrôles peut varier de 30 jours à 6 mois, voire 2 ans en cas de défaillance d'un Etat à contrôler ses frontières extérieures. 
Contrairement à ce qui est parfois écrit ou dit, cette décision ne constitue ni une "fermeture des frontières" (le passage est toujours autorisé pour les personnes prouvant leur identité), ni même une "suspension des accords de Schengen" (cette mesure d'exception est bien permise par la convention de Schengen sous certaines conditions). Il s'agit plutôt d'une suspension de la libre circulation effectuée dans le cadre des accords de Schengen.
Plusieurs pays y ont déjà eu recours, notamment lors de l'organisation d'événements importants sur leur territoire (Euro 2012 en Pologne, sommet de Copenhague sur le climat en 2009...), pour prévenir une menace terroriste (Norvège en juillet 2014) ou encore pour bloquer l'arrivée de migrants (frontière franco-italienne en 2011).

 carte actuelle de l'Europe et de ses frontières
Et la France que fait t'elle ?

Le 13 novembre 2015, la France a temporairement rétabli les contrôles d'identité à ses frontières. Initialement prise pour sécuriser la conférence Paris Climat 2015 (30 novembre - 11 décembre), la mesure a été renforcée le lendemain des attentats de Paris pour tenter d'endiguer la menace terroriste.

Et l'avis des Français?
Selon une enquête Ifop pour Atlantico, quasiment 6 Français sur 10 (59 %) sont favorables à une limitation des immigrés européens en France et donc à une remise en cause des accords de Schengen. 




  Les fausses informations qui circulent sur internet sur                                            les migrants




                                     l'express, poster le 20/09/2015 à 22:30

Un site internet d'information prénommé Buzzfeez a retrouver la véritable histoire de ce migrant Syrien ,qui a été prit pour un soldat de l’état Islamique infiltré parmi les migrants , alors  qu'il était qu'un plâtrier engagé dans la rébellion contre Bachar Al-Assad avant de fuir la Syrie , d'après des sources de Associated Press . Alors qu'il n'est prouver nul part que Laith Al Saleh était un djihadiste.
La photo ou il apparaît avec une arme a été prise a Alep en Syrie en Janvier 2015 . Et sur la photographie de droite ,qui a été prise en août 2015 sur l’île de Kos, en Grèce quand il était avec sa femme et son fils âgé de 3 ans ou il espère rejoindre les Pays-Bas et trouver une famille pour retrouver une vie normale . 


marie cruypelinck
sarah butty









La désobéissance civile, qu'est-ce que c'est ?

Une définition ? 

Chacun à sa propre définition de la désobéissance civile. Mais on peut la définir comme un  refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement,  par ceux qui le contestent, ce refus doit se faire pacifiquement. Ce terme fut créé par l'américain Henry David Thoreau dans son essai La Désobéissance Civile publié en 1849, à la suite de son refus de payer une taxe destinée à financer la guerre contre le Mexique.
La désobéissance civile est une forme de révolte ou de résistance. 


Un exemple ? 

Il y a deux sortes de désobéissances civiques : La désobéissance direct et celle indirecte.

La désobéissance direct : Quand l'infraction que l'on porte et sur la chose que l'on conteste comme par exemple les campagnes de désobéissance civiles lancées par Martin Luther King qui visaient à faire occuper par les noirs les espaces légalement réservés aux blancs. 

La désobéissance indirect : Quand l'infraction ne porte pas sur la chose que l'on conteste, c'est le cas par exemple des sit-in, qui ne visent pas à contester le code de la route.

Un peu d'Histoire

De l'antiquité à l'époque moderne : 

● Une forme de désobéissance civile existait déjà dans le mythe d'Antigone, où les femmes décident de se refuser à leurs maris tant qu'ils n'auront pas mis un terme à la guerre.
● L'histoire romaine a conservé la mémoire de manifestations de femmes, en 195 av. J.-C., contre des restrictions vestimentaires, ainsi qu'en 42 av. J.-C. contre une taxe abusive, ce qui montre que déjà l'idée de résistance face à une loi était déjà présente.
● La religion chrétienne :  Selon l'Evangile, l'Église a ensuite décidé de manière définitive le devoir d'obéissance car il n'y aurait aucun autre pouvoir que celui qui vient de Dieu. Mais Thomas d'Aquin, un religieux, accepte que l'on désobéisse à certaines lois, et que cette désobéissance ne soit pas punie. 
● Au xxème siècle, deux grandes figures de la désobéissance civile se distinguent : Gandhi, et Martin Luther King. 
Qui sont-ils ? 
Gandhi : Gandhi est un dirigeant politique, qui est né en 1869 et qui a été assassiné en 1948 à Delhi. Il est de nationalité indienne. 
Ses règles de la désobéissance civile : 
  1. Un résistant civil ne doit pas avoir de colère.
  2. Il supportera la colère de l'opposant, ainsi que ses attaques sans répondre. Il ne se soumettra pas, par peur d'une punition, à un ordre émis par la colère.
  3. Si une personne d'autorité cherche à arrêter un résistant civil, il se soumettra volontairement à l'arrestation, et il ne résistera pas à la confiscation de ses biens.
  4. Si un résistant civil a sous sa responsabilité des biens appartenant à d'autres, il refusera de les remettre, même au péril de sa vie. Mais il ne répondra pas à la violence.

Martin Luther King : Martin Luther King est un pasteur afro-américain. Il est né een 1929 et a été assassiné en 1968. Il est militant non violent pour les droits des Noirs aux États-Unis, pour la paix et contre la pauvreté. Il a été arrêté pour la désobéissance civile, qui se termine par une décision de la Cour suprême des Etats Unis déclarant illégale la ségrégation dans les autobus, restaurants, écoles, et autres lieux publics.


Quelques exemples en France : 

la désobéissance civile a existé plusieurs fois en France, comme pour l'interdiction de l'avortement. En 1971, un hebdomadaire publie un article dans lequel 343 personnalités déclarent avoir avorté. Elles revendiquent avoir commis cet acte qui est contraire à la loi et demandent la légalisation. 


https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sob%C3%A9issance_civile

Les inégalités d'accès à l'enseignement





Comment réduire les inégalités d'accès à l'enseignement ?



Les inégalités d'accès à l’enseignement, ce sont par exemple les enfants issues de pays pauvres, ne pouvant pas aller à l'école soit parce qu’ils y en a pas ; soit parce qu’elles sont rares et donc très chères. Cela peut-être aussi les enfants ne pouvant pas accéder aux différents établissements payant par manque d'argent ( fac, lycée professionnel, etc. ).

Les inégalités d'accès à l'enseignement diminue :
En Afrique, 11 % des enfants sont inscrits à l'école en 2000 alors qu'en 2012 il y en a 20 %, donc on observe une augmentation de 9 % en 12 ans

il y a une inégalité d'accès à chacun des niveaux scolaires en fonction de l'origine sociale: inégalité d'accès au baccalauréat, au supérieur, aux Grandes écoles ... D'autres part, cette inégalité peut être rapportée au statut social des parents, mais aussi à leurs diplômes, au diplômes du père seulement ou au diplôme des deux parents (La fréquence d’obtention du bac varie de 94% pour les fils de professeurs dont la mère était diplômée d’études supérieures à 1% pour les fils d’exploitants agricoles dont ni le père ni la mère ne possédaient le certificat d’études)
A réussite scolaire semblable, la fréquence de l’orientation vers les voies scolaires les plus intéressantes dépend de l’origine sociale.
(exemple: dans le cas des élèves à l’heure (11 ans) : si la réussite scolaire est bonne, une quasi-totalité d’entre eux rentre dans le secondaire quelle que soit leur origine sociale. On voit des différences en fonction de l’origine sociale, mais elles sont faibles : 90% des enfants d’ouvriers, 96%des enfants d’employés, 99% des enfants des cadres moyens ou supérieurs vont dans le secondaire long ou court.


Actualité : 
L'inégalité face à l'éducation est la première des injustices contre lesquelles il faut lutter. Or elle s'est accrue ces dernières années. Deux réformes ont été menées de front : la refonte de la carte de l'éducation prioritaire et celle de l'allocation des moyens pour toutes les écoles et tous les collèges de France.

Le Conseil supérieur de l'éducation, vient d'adopter à une large majorité la réforme du collège. Avec ce vote, la refondation de l'école engagée depuis 2012 franchit une nouvelle étape importante. 

Il y a une réforme de l'allocation des moyens et de la nouvelle carte de l'éducation prioritaire ce qui en fais une avancée pour que l'école offre à tous les élèves une chance égale de réussir.


Intox : un document distribué en primaire pour la théorie du genre :






Pour mettre en place son programme de sensibilisation, l'Education nationale a distribué un document, adaptable de la grande section de maternelle au CM2, étudié dans plus de 600 classes de 275 écoles.
Pour les « anti-gender » (anti-genre). « Au nom de l'égalité, on veut enlever tout comportement typiquement féminin ou masculin chez nos enfants, dès l'âge de 5 ans », dénonce Vigi Gender. Un dépliant pour tous de La Manif indiquait que :« cette vision idéologique, dans la droite ligne des concepts de genre, revient à nier notre réalité biologique et culturelle et à déconstruire les repères élémentaires de nos enfants. Sous couvert de lutte pour l'égalité, c'est l'indifférenciation entre garçons et filles qui est mise en cause ! ».



Sources : http://www.gouvernement.fr/action/la-lutte-contre-les-inegalites-scolaires 
http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/01/28/cinq-intox-sur-la-theorie-du-genre_4355738_823448.html

Comment régler les inégalités entre les salaires femmes/hommes?

I) L'inégalité

Depuis toujours les hommes et les femmes n'ont pas étaient traités de la même façon en matière de salaires.















Comme on peut le voir ci-dessus les femmes gagnent moins que les hommes.
En 1951 il y a une différence de 40% entre les salaires moyens des hommes et celui des femmes.
En 2007 il y a une différence de 20% entre les salaires des hommes et ceux des femmes.
Même si cet écart diminue il reste quand même conséquent.



D'après le document ci-dessous un homme gagne en moyenne 24 446€ et une femme gagne en moyenne 19 818€ pour le même quantité de travail.